Une soixantaine de personnes ont découvert mercredi soir salle Karaez-Park la pièce de théâtre Taha, le monde ne voulait pas de moi proposée par l’association France Palestine solidarité du Centre Bretagne avec le soutien de diverses organisations politiques et syndicales. Hasard du calendrier, cette pièce résonnait douloureusement avec l’actualité du Proche-Orient.
relevait l’un des organisateurs.
Au travers d’un monologue, le comédien Sylvain Machac retrace le portrait du poète palestinien Taha Muhammad Ali (1931-2011). Né du côté de Nazareth, il a connu une vie de souffrance dont un an d’exil au Liban en 1948 et un amour contrarié qui ont nourri ses écrits et ses messages de paix et tolérance. Ce récit poignant est l’adaptation par le comédien d’un texte en arabe et anglais de l’auteur palestinien Amer Hlehel. Un travail que j’avais entamé après un séjour en Israël
explique Sylvain Machac qui a pour sa part des racines juives.
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