Mais ces investissements semblent dérisoires face à la « bombe climatique » que représente le projet gazier. Dans une enquête de 2022, The Guardian a recensé 195 « bombes à carbone », parmi lesquelles Mozambique LNG. Elles sont définies comme « de gigantesques projets pétroliers et gaziers qui entraîneraient chacun au moins 1 milliard de tonnes d’émissions de CO2 au cours de leur durée de vie, soit au tota l’équivalent d’environ dix-huit années d’émissions mondiales actuelles ».