
Joël Lagadec, l’un des fondateurs du collectif de victimes du collège Saint-Pierre au Relecq-Kerhuon (Finistère), « Bagnards Kerhors », a créé un second collectif qui revendique une quarantaine de membres.
En raison d’un « différend de personnes » avec le premier collectif des anciens élèves victimes de violences du collège Saint-Pierre du Relecq-Kerhuon (Finistère), Joël Lagadec, l’un des fondateurs de ce même collectif, l’a quitté pour en fonder un second. Ce dernier revendique une quarantaine de membres. Ce « collectif victimes Saint-Pierre », qui se déclare « athée » voire « anticlérical », veut une reconnaissance formelle de leur statut de victimes par l’Église.
Lire aussi : TÉMOIGNAGES. « Tant que je n’étais pas à terre, il tapait » : ces collégiens ont vécu « la terreur »
« On espère que la commission d’enquête parlementaire menée par Paul Vannier et Violette Spillebout sur la violence dans les établissements scolaires conduira au vote d’une loi sur l’imprescribilité de la violence sur enfants », ajoute Joël Lagadec, qui suit de très près leurs travaux.
Contact : collectifvictimessaintpierre@yahoo.com
°°°
URL de cet article: https://lherminerouge.fr/un-deuxieme-collectif-de-victimes-du-college-saint-pierre-au-relecq-kerhuon-of-fr-15-04-25/